#58 "La source des femmes" ma critique sociologique et psychologique

Ça y est j'ai eu    UNE VIE SOCIALE!    Avec des vrais gens et tout! "La source des femmes" un film à ne pas manquer, il s'attaque aux traditions machos trop bien ancrées dans la société marocaine.

 Des femmes se battent sans faire couler le sang pour ce qui leurs revint de droit. C'est d'une sincérité et les acteurs paraissent tellement authentiques on en oublie que c'est un film HIHI.


C'est un drame remplie d"humour on en ressort grandis et pleins d'espoirs, un peu trop même. Il y a pleins de bonnes volontés et lorsque l'on est de retour à la réalité on se rappelle que les droits de la femme et des personnes démunies sont encore bafoués.

OUF! Ça faisait longtemps que je n'avais vu un film aussi excellent j'en avais marre de ces productions américaines avec des scénario vus et revus et clichés à mort. 

Bye bye les schiz'

#57 work in progress

Pouvez vous deviner quel est le livre tout à droite?
Ça donne envie de dessiner tout ça non?

#56 Des femmes

Quelques croquis en passant. Je posterai tous les jours des illus, il y aura des strips entre. C'est une bonne façon de s'obliger à dessiner tous les jours. Évidemment les critiques constructives sont encouragées. Donc lâche tes com's.

Ma vidéo est en ligne!!! Je suis assez contente du résultat c'est plus construit que ce que je fais d'habitude, je sens que je m'améliore petit à petit c'est trop ouf. Je rappelle qu'il y a un lien vers ma chaîne à droite en cliquant sur YT et n'oubliez pas de mettre des pouces verts et des commentaires vous ne vous imaginez pas comment ça me rend heureuse!!

A bientôt les schiz' !!

#55 Cancer

Mon père a eu une tumeur maligne cérébrale qui l'a paralysé pendant 6 mois. 5  mois avant il a pu être opéré du même type de tumeur : un glioblastome astrocytaire de grade IV. Maladie très agressive qui se repend très vite et dans des endroits inaccessibles. Je n'aurai jamais pu croire perdre mon père aussi jeune et ainsi. On se rend compte que fasse à la maladie nous ne sommes rien du tout encore moins fasse à la mort. Je subit. Mon instinct de survie m'oblige à aller de l'avant mais le poids de la peine ralentit mes pas...